Nouveau Monde

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Indiens.

« Cinq juifs au moins s’étaient associés à Christophe Colomb dans cette aventure : Luis de Torres, l’interprète ; Marco, le chirurgien ; Bernal, le médecin ; Alonzo de la Calle et Gabriel Sanchez. Luis de Torres fut le premier à fouler le sol du nouveau continent, le premier aussi à découvrir l’usage du tabac ; il s’installa à Cuba et peut être considéré comme le fondateur du monopole juif sur le commerce du tabac tel qu’il existe encore aujourd’hui.

Les deux parrains de Christophe Colomb, Luis de Santangel et Gabriel Sanchez reçurent moult privilèges pour leur contribution au succès de l’entreprise ; mais Christophe Colomb lui-même, victime d’une intrigue fomentée par Bernal, le médecin du bord, fut déchu et emprisonné. »

Extrait du Juif International de Henry Ford.

 

L’américain, le vrai (Navajos)

Navajos
Cavalier Navajos surplombant le canyon de Chelly.

Les Navajos sont une tribu amérindienne d’Amérique du Nord étroitement liée à celle des Apaches. Leur territoire correspond au point de concours de quatre états : l’Arizona, l’Utah, le Colorado et le Nouveau-Mexique en s’étendant à travers le plateau du Colorado. Leurs activités se fondent essentiellement sur l’élevage de moutons, chèvres, chevaux et quelques bovins ainsi que sur la poterie, la vannerie et la fabrication de bijoux en argent. Toutefois, vers le milieu du XX ème siècle, la production de pétrole et la découverte de nombreux gisements minéraux sur le territoire des réserves Navajos ont considérablement déséquilibré et fragilisé l’autonomie des tribus. Merde au progrès !

L’américain, le vrai (iroquois)

Iroquois
Histoire de la nation iroquoise.

Les iroquois sont une tribu amérindienne vivant principalement sur un territoire allant du lac Ontario à New York. D’autres représentants de la tribu iroquoise sont également présents dans le Wisconsin, le Québec et l’Oklahoma. Au XVIII ème siècle, durant la guerre de Sept Ans, les iroquois s’allièrent aux anglais contre les français. Lors de la guerre d’indépendance américaine, ils s’allièrent à nouveau aux britanniques qui leur avaient promis en échange le respect de leurs frontières et de leur territoires. Mais cette étrange alliance ne profitera bien évidemment jamais aux Iroquois, au contraire, elles s’avéreront plutôt désastreuses pour la nation iroquoise. En effet, dès 1779, Georges Washington envoya une armée pour envahir leurs terres ancestrales. Les iroquois furent donc contraints de céder leurs terres avant de subir les philanthropiques déportations perpétrées par les colons anglo-saxons qui firent rapidement main basse sur les ressources naturelles du territoire iroquois. Les iroquois comprirent probablement trop tard que les États-Unis naissants n’étaient ni plus ni moins qu’une extension de la Perfide Albion et que l’anglais était avant tout un commerçant libéral n’ayant aucune considération pour le genre humain. Et 230 ans plus tard, cela se vérifie encore en Irak, en Libye, en Syrie ou en Afghanistan où des milliers de civils sont constamment vitrifiés par les gentils bombardements démocratiques de l’Oncle Sam maquillés par le verni droit-de-l’hommiste.

L’américain (le vrai) : Cheyenne

Cheyenne
Little Wolf, chef Cheyenne.

Little Wolf était l’un des chefs de la nation amérindienne Cheyenne, l’une des plus célèbres et importantes tribus des Grandes Plaines d’Amérique et dont le territoire s’étendait du sud du Colorado jusqu’aux Black Hills du Dakota. Lors des guerres menées par les libéraux anglo-saxons contre les indiens, les Cheyennes furent durement persécutés notamment lors du massacre de Sand Creek dans le Colorado ou encore suite à la bataille de Washita River. Le 25 juin 1876, lors de la bataille de Little Big Horn, une coalition de Cheyennes et de Sioux emmenée par Sitting Bull mit en déroute l’armée des vermines libérales commandée par Georges Amstrong Custer. Mais suite à cette éclatante victoire indienne, les colons anglo-saxons intensifièrent les déportations et les persécutions contre la nation Cheyenne qui ne compte plus, aujourd’hui, qu’environ 3500 individus pour la plupart encore enfermés dans des réserves.

L’américain (le vrai)

Comanche
Quanah Parker, chef Comanches.

Originaire du Wyoming, les Comanches sont un groupe d’Amérindiens qui migrèrent vers le sud et dont les territoires se situaient à cheval sur les actuels états de l’Oklahoma, du Texas, de la Californie et du Nouveau-Mexique. Au milieu du XIX ème siècle, les Comanches parvenaient à maintenir leur indépendance et même à étendre leur territoire malgré les exactions et les persécutions que leur firent subir les ordures et les saloperies anglo-saxonnes. Pour les annihiler définitivement, ces saloperies anglo-saxonnes introduisirent délibérément divers maladies ou virus (vérole, choléra…) au sein des tribus Comanches. Ils travaillèrent aussi à l’épuisement délibéré des ressources en chevaux et en bisons afin d’affaiblir d’avantage les Comanches. Par conséquent, la population Comanche chuta à quelques milliers d’individus vers 1870. Vivant de façon traditionnelle et organique, en harmonie et en communion parfaite avec la nature, les Comanches n’étaient bien évidemment pas préparés à la sauvagerie et à l’ultra-violence du système économique occidental, libéral et « moderne » et ils perdirent très vite ce qu’il restait de leurs terres. Les Comanches sont aujourd’hui enfermés dans des réserves situées, pour la plupart, dans l’état de l’Oklahoma. L’appellation « Comanche », tout comme celle de leurs frères « Apache » est aujourd’hui accolée par le très philanthrope complexe militaro-industriel américain (Hughes Aircraft/McDonnell Douglas/Boeing/Sikorsky) sur des modèles d’hélicoptères.

L’américain (le vrai)

L'américain (le vrai)
Cochise, chef Apache des Chiricahuas (1812 – 1874).

“Ceci est un bien long voyage. Là-bas, les mouches dévorent les yeux des chevaux. De mauvais esprits hantent ces lieux. Je veux rester dans nos montagnes, là où leurs eaux m’ont si souvent désaltéré. Je ne veux pas quitter mon pays.” Réponse faite par Cochise aux putridités anglo-saxonnes qui déportèrent son peuple dans la réserve de Tularosa au Nouveau Mexique.

Sioux

Sioux
Sitting Bull, grand chef Sioux, héros et martyr de la résistance amérindienne contre le poison anglo-saxon.

“Lorsque la dernière goutte d’eau sera polluée, le dernier animal chassé et le dernier arbre coupé, l’homme blanc comprendra que l’argent ne se mange pas. La Terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la Terre.” Sitting Bull

Cherokee

Cherokee
Zoom sur une politique d’extermination menée par la matrice totalitaire WASP (white anglo-saxon protestant).

Les Cherokees sont un peuple indien d’Amérique du nord parlant une langue iroquoienne. Dans les années 1830, ils furent persécutés et déplacés de force de leurs terres ancestrales du nord de la Géorgie et des Carolines vers le Territoire Indien en Oklahoma, principalement à cause de la ruée vers l’or dans laquelle se lancèrent les putridités anglo-saxonnes. La déportation du peuple cherokee porte le nom de Piste des larmes.