
Animaux
Taureau blanc
Grand cerf des bois

Lion

Panthera leo. Force du croyant combattant le péché.
Huppe fasciée

Coq

Cocoricooooooo !!!
Soutien à la Paysannerie Française

La Paysannerie Française c’est ce truc qui a fait qu’au fil des siècles, la France est devenu le plus beau pays du monde et accessoirement aussi celui où l’on bouffe et où l’on boit le mieux. C’est grâce à la sueur virile et pluri-séculaire de la paysannerie française qu’aujourd’hui des millions de touristes sino-japono-germano-néerlo-anglo-saxons bien sales, bien cheap, bien fiottes et bien cons viennent dégueulasser la terre de nos ancêtres avec le soutien des chiennes et des pédales des divers ministères de chiottes qui constituent la raie-publique de cette sale pute qu’ils appellent « Marianne ».
La Paysannerie Française c’est ce solide groupe d’authentiques français, catholiques, blancs et hétérosexuels qui depuis des siècles, à travers une fidélité indéfectible à Dieu et au roi, s’est fait chier la bite pour concevoir les meilleures gnôles, les meilleurs clacosses, les meilleurs pinards, les plus beaux paysages et les meilleurs sifflards du monde. Toute cette gastronomie qui sent fort la sueur, le courage et la testostérone soit tout l’inverse des burgers, des chewing-gum, des sodas et toutes cette merde infamante imposée par la pire clique de fils de pute qui ait envahi la France depuis le baptême de Clovis et dont nous ne sommes malheureusement toujours pas débarrassés.
La Paysannerie Française c’est des types graveleux, velus, qui rotent au pinard et qui pètent aux fayots. C’est ces gros bonhommes en bottes qui portent virilement une salopette trouée et un béret sur la tête parce que The Koople et Zadig & Voltaire c’est pour les fiottes et les tarlouzes. Le paysan français, il petit-déjeune au calva, fume des Gauloise sans filtre qui noircissent les dents, il boit du pinard et mange des kilos de fromage tous les jours parce que la sécu et le ministère de la santé c’est quand même très pédé.

La Paysannerie Française est une communauté d’hommes viriles solidaires et organisés et c’est précisément la raison pour laquelle l’oligarchie nauséeuse de Bruxelles veut sa peau, de concert avec leurs alliés excrémenteux de la grande distribution.
Déjà en 14-18, la république de l’insupportable maçon Clémenceau avait organisé de toute pièce le suicide de la Paysannerie Catholique Française en l’envoyant massivement se faire crever la paillasse loin de chez elle, dans des tranchées pleines de boue et de vermines pendant que les parasites cosmopolites de tout poil se goinfraient et s’enrichissaient scandaleusement loin des combats.
Aujourd’hui les choses ne s’arrangent pas, les pires ennemis de la France, de Wall Street à Bruxelles en passant par l’Élysée gay, ont écorché la Nation toute vive en lui confisquant ses frontières, en y agitant tous les 5 ans une nouvelle pédale démocrate et cosmopolite et en nous faisant croire que celle-ci nous « dirige ».
Et puis il y a aussi cette hideuse et abjecte grande distribution. Celle-là même qui ruine nos centres-villes, défigure nos campagnes et organise la mort lente de notre prestigieux patrimoine culturel et gastronomique. En fait, il s’agit bien là d’une clique de merdeux à tendance fosse à chiasse liquide. Sous couvert de « lutter pour le pouvoir d’achat » ces faces d’étrons truffés escroquent librement et à ciel ouvert honnêtes consommateurs et petits producteurs avec la bénédiction des traitres, des putes et des salopes qui croupissent dans les ministères et les gouvernements tels des asticots dans un fromage pourri. C’est aussi ça la démocratie : le régime où les traitres et les pédés s’épanouissent sur le cadavre d’une grande civilisation qu’ils s’emploient à détruire à tous les niveaux pour préparer le règne tyrannique de la banque et de la finance cosmopolite.
Grand cerf des Bois.
Le Lion de Némée

La capture de cette créature fantastique qui terrifiait la région de Némée en Argolide constitua le premier des douze travaux d’Héraclès dans la mythologie grecque. Le Lion de Némée présentait la particularité d’avoir une peau impénétrable.
Héraclès surprit le monstre sur le versant d’une colline peu après le repas de la bête. Il se cacha et attaqua le Lion de Némée en lui tirant dessus à coup de flèches. Mais ces flèches, pourtant offertes par Apollon, se révélèrent inefficaces contre le cuir blindé du Lion.
Alors Héraclès décida de combattre le Lion de Némée armé seulement d’une massue en bois d’olivier. Il captura la bête, la frappa et l’étrangla brisant même sa massue dans la mêlée.
Le combat terminé, Héraclès se servit des griffes du monstre pour l’écorcher et ainsi récupérer la peau qu’il nettoya avant de s’en revêtir. Puis, Zeus mit le Lion au firmament, au nombre des constellations.
Corbeau

Cet hideux volatile lâche et affamé de charogne rappelle, au premier coup d’œil, l’éphémère usurpateur du prestigieux hôtel de Matignon. C’est de ce perchoir, aujourd’hui démocrasseux, que l’excité catalan, grelotteux et sordide, lance ses ignobles ailes noircies de tous les côtés à la fois, carottant des poignées de mains dans le grand monde, se créant une clientèle dans la presse traitre et vendue, dans la (dé)culture incarnée par sa pestilentielle rombière, dans la finance cosmopolite, et surcollant d’acharnés suçoirs aux ventouses déjà gorgées du demi-monde.
Tout être réellement humain qui n’a pas le mépris instinctif de ce répugnant argousin de la pensée voyoucratique ne mérite même pas l’estime d’un chien. Cela s’énonce aussi tranquillement qu’un axiome de géométrie. Car, de par la noirceur de sa fétide idéologie républicaine, reflet de sa pitoyable sénilité intellectuelle, le dernier ministre file tout droit vers son dernier pourrisoir tel une viande à corbillard recueillie à croque-mort dans les fétides et nauséeuses tinettes républicaines.
Détritus de chenapans, irrespirable canaille sioniste, pleureuse du « droit-de-l’hommisme » en peau de lapin et salope de leur répugnante « liberté d’expression » ce sinistre excité catalan s’égosille à piaffer sur sa « liberté de la presse » dans le sang que notre dysenterie morale lui a permis de répandre sans danger. Par là même, ses infâmes vociférations républicaines semblent tout droit sorties d’un orgue de barbarie rouillé dont la manivelle, détraquée, est systématiquement réparée par les plus dégoutantes élites cosmopolites que les montagnes de l’Antiquité ont fait suinter pour la paupérisation de ce monde.
Ce débris abhorré, mais subsistant le temps d’un mandat démocrasseux, est à peu près aussi effroyable pour la France qu’une prostituée purulente, vermineuse et syphilitique pour le passant de la rue Saint-Denis.
Ce « Jupiter » récemment naturalisé, obscur et fielleux, tonnant de l’imbécilité démocratique, s’écoule sur notre belle France catholique et millénaire tel un grand fleuve d’excréments descendu pour nous des montagnes conspuées de l’antique histoire des Nations que le genre humain a maudites.
J’aurais bien voulu ne pas nommer ce tas de purin, ce nageant aruspice de la décadence et de la trahison, mais je laisse ce procédé lâche et minable aux ignobles ramasseurs de crottins de la médiacratie putride, laquelle a vraiment trop de sollicitude pour la purulente peau de lépreux qui recouvre sa vilaine âme.
J’estime, au contraire, qu’il faut trainer sur le devant de la scène l’animal que je veux éventrer pour l’oraculaire ostentation de ses intestins fétides et qu’il est tout à fait utile de vociférer son nom : Manuel Carlos Valls Galfetti ! MERDE ! Quand même !