Soutien à la Paysannerie Française

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Cochon qui pue et qui se roule dans sa merde pour faire des bons sau-sifflards que même Cyril Hanouna et Benyamin Netanyahou ils veulent pas en manger. Le cochon fait « groïk groïk ! »

La Paysannerie Française c’est ce truc qui a fait qu’au fil des siècles, la France est devenu le plus beau pays du monde et accessoirement aussi celui où l’on bouffe et où l’on boit le mieux. C’est grâce à la sueur virile et pluri-séculaire de la paysannerie française qu’aujourd’hui des millions de touristes sino-japono-germano-néerlo-anglo-saxons bien sales, bien cheap, bien fiottes et bien cons viennent dégueulasser la terre de nos ancêtres avec le soutien des chiennes et des pédales des divers ministères de chiottes qui constituent la raie-publique de cette sale pute qu’ils appellent « Marianne ».

La Paysannerie Française c’est ce solide groupe d’authentiques français, catholiques, blancs et hétérosexuels qui depuis des siècles, à travers une fidélité indéfectible à Dieu et au roi, s’est fait chier la bite pour concevoir les meilleures gnôles, les meilleurs clacosses, les meilleurs pinards, les plus beaux paysages et les meilleurs sifflards du monde. Toute cette gastronomie qui sent fort la sueur, le courage et la testostérone soit tout l’inverse des burgers, des chewing-gum, des sodas et toutes cette merde infamante imposée par la pire clique de fils de pute qui ait envahi la France depuis le baptême de Clovis et dont nous ne sommes malheureusement toujours pas débarrassés.

La Paysannerie Française c’est des types graveleux, velus, qui rotent au pinard et qui pètent aux fayots. C’est ces gros bonhommes en bottes qui portent virilement une salopette trouée et un béret sur la tête parce que The Koople et Zadig & Voltaire c’est pour les fiottes et les tarlouzes. Le paysan français, il petit-déjeune au calva, fume des Gauloise sans filtre qui noircissent les dents, il boit du pinard et mange des kilos de fromage tous les jours parce que la sécu et le ministère de la santé c’est quand même très pédé.

La Paysannerie Française, c’est elle qui nous a transmis les cuisses de grenouilles, le cassoulet qui fait prouter, les tripoux, les rognons de porc, l’andouillette qui pue la merde, la vinasse et les gnôles, les escargots qui molardent, La langue de truie et les gencives de veaux, la tête de bœuf, les pieds de gros porcs, les museaux plein de morve ou encore les intestins à merde à la mode de Caen. Plus ça schlingue plus on s’en régale bordel de merde et c’est pour ça que les autres peuples inférieurs nous regardent de très bas en nous admirant.
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Vache qui pisse du lait bien gras pour faire des fromages qui puent que même les chinois ils veulent pas en manger. La vache fait « meuuuuuuuuuh ! »

La Paysannerie Française est une communauté d’hommes viriles solidaires et organisés et c’est précisément la raison pour laquelle l’oligarchie nauséeuse de Bruxelles veut sa peau, de concert avec leurs alliés excrémenteux de la grande distribution.

Déjà en 14-18, la république de l’insupportable maçon Clémenceau avait organisé de toute pièce le suicide de la Paysannerie Catholique Française en l’envoyant massivement se faire crever la paillasse loin de chez elle, dans des tranchées pleines de boue et de vermines pendant que les parasites cosmopolites de tout poil se goinfraient et s’enrichissaient scandaleusement loin des combats.

Aujourd’hui les choses ne s’arrangent pas, les pires ennemis de la France, de Wall Street à Bruxelles en passant par l’Élysée gay, ont écorché la Nation toute vive en lui confisquant ses frontières, en y agitant tous les 5 ans une nouvelle pédale démocrate et cosmopolite et en nous faisant croire que celle-ci nous « dirige ».

Et puis il y a aussi cette hideuse et abjecte grande distribution. Celle-là même qui ruine nos centres-villes, défigure nos campagnes et organise la mort lente de notre prestigieux patrimoine culturel et gastronomique. En fait, il s’agit bien là d’une clique de merdeux à tendance fosse à chiasse liquide. Sous couvert de « lutter pour le pouvoir d’achat » ces faces d’étrons truffés escroquent librement et à ciel ouvert honnêtes consommateurs et petits producteurs avec la bénédiction des traitres, des putes et des salopes qui croupissent dans les ministères et les gouvernements tels des asticots dans un fromage pourri. C’est aussi ça la démocratie : le régime où les traitres et les pédés s’épanouissent sur le cadavre d’une grande civilisation qu’ils s’emploient à détruire à tous les niveaux pour préparer le règne tyrannique de la banque et de la finance cosmopolite.

La solidarité avec les merdes c’est le cancer de la France ! L’épine dans le pied du colosse endormi qui peux pas lever son cul pour autre chose que pour le tendre aux amerloques et aux banques !
Où sont planquées les francisques mérovingiennes ? Où sont les hurlements virils des tribus franques ? Où sont les fléaux d’armes ?  Où sont les charges héroïques de Dunois et de Poton de Xaintrailles ? Où sont passés dragonnades, pogroms et autres massacres à la hache ? Où sont les paires de couilles de Bonchamps et de La Rochejaquelein ? Putain mais le XXI ème siècle est tellement sodomite et pédé que c’est à se demander par quel miracle il se fait encore des enfants ? Où sont les courageux combattants de l’OAS ? Où sont passés l’honneur et la dignité du Maréchal ? Où sont passées la piété d’un Saint Louis et la bravoure d’un Philippe Auguste ?
Vas-tu encore te lever à 15 h de l’après-midi et rater ton rendez-vous pour aller toucher ton RSA chez Paul Amploy ?
Vas-tu encore faire la queue pendant 125 heures devant l’Apple Store pour t’acheter un iPad d’homosexuel ?
Vas-tu encore aller veauter pour Sarköllande ?

Gaspard de Bernard de Marigny (1754 – 1794)

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Portrait d’un héros des Guerres de Vendée.

Lieutenant de vaisseau dans la Royale sous l’ancien régime, brillant militaire français, Gaspard de Bernard de Marigny était un cousin de Louis de Salgues de Lescure dont l’épouse, Victoire de Donissan de La Rochejaquelein écrivit à propos de lui dans ses Mémoires :

“C’était un fort bel homme, d’une taille élevée et d’une grande force de corps; il était gai, spirituel, loyal et brave. Jamais je n’ai vu personne aussi obligeant : il était toujours prêt à faire ce qui était agréable aux autres ; au point que je me souviens que, comme il avait quelque connaissance de l’art vétérinaire, tous les paysans du canton venaient le chercher quand ils avaient des bestiaux malades. Il avait une extrême vivacité, et quand il s’animait, il s’exaltait d’une manière démesurée.”

En août 1792, lors de la prise des Tuileries orchestrée par la secte judéo-maçonnique avec le soutien d’une foule de parisiens manipulés, corrompus et avinés, Gaspard de Bernard de Marigny fit partie de ces illustres mais impuissants résistants français qui, montés à Paris, prirent part, aux côtés d’illustres héros tels que Charette, La Rochejaquelein ou encore Lescure, à la défense du palais et de la famille royale. Abandonnés par le roi, qui leur intima l’ordre de ne pas les défendre, tout ces héros, vieille roche de la noblesse de France toujours animée par le souvenir impérissable des barricades de la Sainte Ligue, ne purent employer leur énergie qu’à leur propre salut.

Plus tard, lorsque éclata l’insurrection contre-révolutionnaire vendéenne, Gaspard de Bernard de Marigny, alors détenu dans les geôles républicaines avec son cousin Lescure à Bressuire, rejoignit les paysans insurgés et fut prier de se mettre à leur tête après avoir été libéré par eux.

Très vite, il s’imposa comme l’un des principaux commandants d’artillerie. Ses faits d’armes furent nombreux. Il s’illustra merveilleusement lors de la prise de Thouars, de Saumur, d’Angers ou encore lors de la triste Virée de Galerne de laquelle il parvint à revenir sain et sauf.

À partir d’avril 1794, Gaspard de Bernard de Marigny décida de reprendre la résistance contre le poison républicain aux côtés de Charette, Stofflet et Sapinaud. Le général Stofflet, ce sanguin au fort caractère, tenta de donner à Marigny un rôle secondaire. Cette malheureuse querelle entre les deux hommes déboucha sur la séparation des deux chefs Vendéens. Par la suite, un conseil de guerre fut constitué et condamna Marigny à mort par contumace.

Gaspard de Bernard de Marigny entreprit alors de combattre seul cette odieuse ploutocratie républicaine mais, pris de fièvres et d’atroces douleurs, Marigny fut contraint de se réfugier au château de la Girardière où il fut arrêté par les hommes de Stofflet et fusillé sur-le-champ. Ses paysans poursuivirent la résistance sous les ordres de Sapinaud qui avait refusé de voter sa mort.

“M. de Marigny fut nommé général de l’artillerie. Il s’entendait parfaitement à cette partie de l’art militaire: pendant la guerre contre l’Angleterre, il avait pris part à plusieurs débarquements, et il avait plus d’expérience que la plupart des officiers; mais il s’échauffait au point de perdre complètement la tête; aussi a-t-il nui quelquefois aux succès de l’armée, à laquelle cependant ses talents ont bien plus souvent servi. Il faut encore attribuer à cette espèce d’égarement et de vertige sa dureté et son inhumanité envers les vaincus. Presque jamais il n’en épargnait aucun, quelque représentation qu’on pût lui faire; il était fortement persuadé que cela était utile au parti. Au milieu de ses cruautés, il continuait à se montrer, avec ses camarades et ses soldats, l’homme le meilleur et le plus affable; aussi était-il fort aimé; on ne pouvait s’empêcher de lui être très-attaché.” Extrait des Mémoires de Victoire de Donissan de La Rochejaquelein.