Philippe III dit « Philippe le Hardi », fils de Saint Louis et de Marguerite de Provence.
« Beau fils,
La première chose que je t’enseigne, c’est que tu mettes ton cœur à aimer Dieu ; car sans cela nul ne peut être sauvé. Garde-toi de faire rien qui déplaise à Dieu, c’est à savoir le péché mortel ; au contraire, tu devrais souffrir toute sorte de tourments, plutôt que de faire péché mortel. Si Dieu t’envoie l’adversité, alors reçois-la en patience, et rends-en grâce à Notre Seigneur ; et pense que tu l’as méritée qu’Il te tournera tout à profit. S’il te donne la prospérité, alors remercie l’en humblement, de sorte que tu ne sois pas pire par orgueil ou d’autre manière, pour ce que tu dois mieux valoir ; car on ne doit pas guerroyer contre Dieu avec ses dons. Confesse-toi souvent et choisis un confesseur prud’homme, qui te sache enseigner ce que tu dois faire et de quoi tu te dois garder ; et tu te dois maintenir et comporter de telle manière que ton confesseur et tes amis t’osent reprendre de tes méfaits. Écoute le service de la sainte Église dévotement et sans bavarder ; mais prie Dieu et de cœur et de bouche, spécialement à la messe, quand se fait une consécration.
Aie le cœur doux et compatissant aux pauvres, aux malheureux et aux affligés, et les conforte et aide selon que tu pourras. Maintiens les bonnes coutumes de ton royaume, et abats les mauvaises. Ne convoite pas contre ton peuple, et ne charge pas ta conscience d’impôts et de tailles, si ce n’est pas grande nécessité.
Si tu as quelque peine de cœur, dits-le tantôt à ton confesseur ou à quelque prud’homme qui ne soit pas plein de vaines paroles; alors tu la porteras plus facilement.
Veille à avoir en ta compagnie des gens prud’hommes et loyaux, soit religieux, soit séculiers, qui ne soient pas pleins de convoitise, et parle souvent avec eux ; et fuis et évite la compagnie des mauvais. Ecoute volontiers la parole de Dieu et la retiens en ton cœur ; et recherche volontiers prières et indulgences. Aime ce qui est profitable et bon. Hais tout ce qui est mal où que ce soit. Que nul ne soit si hardi que de dire devant toi une parole qui attire et excite au péché, ni de médire d’autrui par derrière par des détractions ; ne souffre pas non plus que nulle vilenie soit dite de Dieu ni de ses saints devant toi. Rends souvent grâces à Dieu de tous les biens qu’Il t’a faits, de sorte que tu sois digne d’en avoir davantage.
Pour tendre la justice et faire droit à tes sujets, sois loyal et roide, sans tourner ni à droite ni à gauche, mais toujours du côté droit, et soutiens la plainte du pauvre jusqu’à tant que la vérité soit déclarée. Et si quelqu’un a une action contre toi, ne crois rien jusqu’à tant que tu en saches la vérité ; car alors tes conseillers jugeront plus hardiment selon la vérité pour toi ou contre toi. Si tu tiens rien qui soit à autrui, ou par toi, ou par tes devanciers, et que la chose soit certaine, rends-le sans tarder ; et si c’est chose douteuse, fais-en faire une enquête, par gens sages, promptement et diligemment.
Tu dois mettre ton attention à ce que tes gens et tes sujets vivent sous toi en paix et en droiture. Surtout garde les bonnes villes et les coutumes de ton royaume dans l’état et dans la franchise où tes devanciers les ont gardées ; et s’il y a quelque chose à amender, amende-le et redresse-le, et tiens-les en faveur et amour ; car, à cause de la force et des richesses des grandes villes, tes sujets et les étrangers redouteront de rien faire contre toi, spécialement tes pairs et tes barons.
Honore et aime toutes les personnes de la sainte Église, et prends garde qu’on ne leur enlève ni diminue les dons et les aumônes que tes devanciers leur ont donnés. On raconte du roi Philippe, mon aïeul, qu’une fois un de ses conseillers lui dit que ceux de la sainte Église lui faisaient beaucoup de torts et d’excès, en ce qu’ils lui enlevaient ses droits et diminuaient ses justices ; et c’était bien grande merveille qu’il le souffrit. Et le bon roi répondit qu’il le croyait bien ; mais il considérait les bontés et les courtoisies que Dieu lui avait faites ; alors il aimait mieux laisser aller de son droit que d’avoir contestation avec les gens de la sainte Église.
A ton père et à ta mère porte honneur et respect, et garde leurs commandements.
Donne les bénéfices de la sainte Église à des personnes de bien et de vie nette; et faites-le par le conseil de prud’hommes et d’honnêtes gens.
Garde-toi d’entreprendre la guerre sans grande délibération contre un prince chrétien ; et s’il te le faut faire, alors garde la sainte Église et ceux qui ne t’ont fait aucun tort. Si des guerres et des contentions s’élèvent entre tes sujets, apaise-les au plus tôt que tu pourras.
Sois soigneux d’avoir de bons prévôts et de bons baillis, et enquiers-toi souvent d’eux, de ceux de ton hôtel, comme ils se maintiennent, et s’il y a en eux aucun vice de trop grande convoitise, ou de fausseté, ou de tromperie. Travaille à ôter de ton royaume tout vilain péché ; spécialement fais tomber de tout ton pouvoir les vilains serments et l’hérésie.
Prends garde que les dépenses de ton hôtel soient raisonnables.
Et enfin, très doux fils, fais chanter des messes pour mon âme et dire des oraisons par tout ton royaume; et octoie-moi une part spéciale et entière en tout le bien que tu feras.
Beau cher fils, je te donne toutes les bénédictions qu’un bon père peut donner à son fils. Et que la bénite Trinité et tous les saints te gardent et défendent de tous les maux ; et que Dieu te donne la grâce de faire toujours Sa volonté, de sorte qu’Il soit honoré par toi, et que toi et moi nous puissions, après cette vie mortelle, être ensemble avec Lui, et Le louer sans fin. Ainsi soit-il. »
Le duc Anne de Joyeuse à la bataille de Coutras, 20 octobre 1587.
Baron d’Arques, vicomte et duc de Joyeuse, Anne de Joyeuse fut l’un des plus célèbres mignons d’Henri III. Il fréquenta dès l’âge de 12 ans le collège de Navarre, à Paris. Puis dès ces 17 ans, Anne de Joyeuse accompagna son père Guillaume de Joyeuse sur les champs de bataille contre les parpaillots en Auvergne et en Languedoc.
En 1579, il reçut le commandement d’une première troupe, puis devint gouverneur du Mont-Saint-Michel. Le 18 septembre 1581, le duc Anne de Joyeuse se maria avec Marguerite de Lorraine.
Nommé Grand Amiral de France, il fut ensuite promu chevalier de l’Ordre du Saint Esprit. Par la suite, il fut nommé gouverneur de Normandie, gouverneur du Havre puis gouverneur du duché d’Alençon.
En 1587, le duc Anne de Joyeuse dirigea ses troupes contre les parpaillots, d’abord dans le Poitou, où il ordonne l’exécution d’environ 800 huguenots, puis, le 20 octobre, à Coutras en Gironde. Là, son armée fut décimée suite à une erreur stratégique : une charge de cavalerie fut lancée de si loin que les chevaux, lorsqu’ils parvinrent sur les lignes huguenotes, étaient épuisés. Henri de Navarre et ses parpaillots en profitèrent pour prendre le dessus dans cette bataille à l’issue tragique. En effet, le duc Anne de Joyeuse fut fait prisonnier mais, reconnu peu de temps après, fut lâchement abattu d’un coup de mousquet.
Anne de Joyeuse est enterré à Montrésor (Touraine). Son frère, Claude de Joyeuse, fut également tué, ainsi que 2 000 catholiques à l’issue de la débâcle de Coutras.
Je mets sciemment et illégalement cette crèche sur ce blog car je suis entré en résistance contre leur république maçonnique, laïciste, liberticide et intolérante.
Le furet est une sous-espèce de Mustela putorius qui fut domestiquée au Ier millénaire av. J.C. et qui n’existe donc pas naturellement à l’état sauvage.
Le furet est traditionnellement utilisé pour la chasse aux lapins où il est lâché dans les terriers pour en faire sortir les occupants.
Aujourd’hui, le furet est essentiellement apprécié comme animal de compagnie. Il se place d’ailleurs au troisième rang des animaux de compagnie en Amérique du Nord, en Europe et au Japon juste derrière le chien et le chat.
À l’emplacement de l’actuelle cathédrale Saint-Étienne d’Auxerre se sont succédées jadis 3 cathédrales romanes aux dimensions plus modestes : une première vers 386-418 incendiée au IXème siècle, une seconde elle aussi incendiée en 1023, le dernier édifice roman fut construit en 1023, sa crypte subsiste encore aujourd’hui.
Guillaume de Seignelay, un évêque « moderne », s’il est permis d’utiliser cette expression, fit démolir le dernier édifice roman tout en faisant construire la cathédrale actuelle. La démolition-construction débuta en 1215.
Une seule tour se dresse à Saint-Étienne d’Auxerre. La seconde, qui était prévue au départ, n’a jamais été construite faute de moyens.
Les sculptures du portail de gauche représente la Genèse. Dans les « cartouches » situés à gauche de ce même porche, le sculpteur a représenté la création du monde. Il est à remarquer que contrairement aux idées reçues, les hommes de l’époque féodale savaient parfaitement que la terre était ronde. Le portail droit représente l’Incarnation. Quant au portail central il représente le Jugement Dernier.
Les multiples sculptures qui ornent Saint-Étienne d’Auxerre ont largement souffert des prédations et des violences perpétrées par la racaille protestante au XVI ème siècle lors du sac d’Auxerre en 1567, sac au cours duquel des milliers d’auxerrois furent persécutés puis exterminés parce que catholiques.
Quant au palais épiscopal qui jouxte Saint-Étienne d’Auxerre, converti en préfecture de l’Yonne, il est encore aujourd’hui sous occupation de leur république illégitime et décadente.
Dans l’attente du Sauveur qui viendra libérer la France Éternelle de leur ignoble voyoucratie républicaine, prions…
Cette bataille Napoléonienne méconnue s’inscrit dans la campagne d’Allemagne (1813) et s’est déroulée le 20 et 21 mai 1813 sur les rives de la Sprée, près de Bautzen, ville allemande située dans l’actuel land de Saxe, non loin de la frontière tchèque.
La bataille de Bautzen est également connue sous le nom de « bataille de Wurschen ». Elle a opposé les troupes russo-prussiennes dirigées par Wittgenstein (environ 100 000 hommes) à l’armée française de Napoléon Ier complétée par des troupes de Saxe, de Hesse, de Wurtemberg, de Bade ainsi que du royaume d’Italie (environ 180 000 hommes).
Le 20 mai, les français, emmenés par Oudinot, franchissent la Sprée par le sud près de Singwitz, par le centre près de Bautzen emmenés par MacDonald et par le nord près de Nieder Gurig emmenés par Bertrand. Le maréchal Ney est lui envoyé par Napoléon Ier pour contourner l’ennemi par son aile droite à Klix, tout en lançant un assaut frontal.
Au bout de deux jours de combats acharnés (dont une charge trop tardive de Ney) les pertes se chiffrent et s’équilibrent à environ 20 000 hommes dans chaque camp.
Finalement, Wittgenstein, dont les effectifs sont trop faibles pour lutter victorieusement, préfère opter pour une retraite en bon ordre. Les Français ne poursuivent les russo-prussiens qu’incomplètement. Quelques jours plus tard, un armistice est signé débouchant sur une trêve de sept semaines.
132 ans plus tard, une bataille opposera exactement sur le même terrain les troupes de l’Armée Rouge (renforcée de divisions polonaises) à celles du IIIème Reich.
Pépin le Bref est le fils cadet de Charles Martel et le père de Charlemagne. Devenu maire du Palais à l’âge de 26 ans, il est ensuite couronné roi des Francs en 751. C’est le premier monarque de la dynastie dite des Carolingiens.
À l’instar des démocraties occidentales actuelles, la dynastie mérovingienne était entrée dans une phase de décadence. Les rois mérovingiens légitimes n’avaient plus aucune autorité sur leur royaume. De son côté, la prestigieuse fonction de Maire du Palais était exercée par des hommes forts tels que Charles Martel. Aussi ces derniers prirent petit à petit le dessus sur l’autorité mérovingiennes. C’est cette lignée d’aristocrates Maires du palais qui s’empara peu à peu du pouvoir au détriment des mérovingiens et c’est Pépin le Bref qui concrétisa la transition.
Pépin le Bref avait un frère, Carloman, avec qui il régnait sur le royaume francs : Pépin le Bref gouvernait la Neustrie et Carloman l’Austrasie. Jusqu’au jour où Carloman décida de se retirer au monastère de Mont-Cassin pour devenir moine. Alors Pépin le Bref, avec l’accord du pape, débouta définitivement le dernier roi mérovingien Childéric III (751) et régna seul sur l’ensemble du royaume franc. C’était le début de la dynastie des carolingiens.
Pépin le Bref, dont le surnom « le bref » provenait de sa petite taille, se maria avec Bertrade de Laon (dite Berthe au grand pied). À sa mort, Pépin le Bref fut inumé en la basilique Saint-Denis comme le voulait la coutume. Son fils Charlemagne lui succéda à la tête du royaume.
De gauche à droite : Langlois, d’Armaillé, des Essarts, de Beauvollier, Cathelineau, d’Elbée, La Rochejaquelein, de La Bouëre, Cailleau. À Parthenay, Haut Poitou, 11 mai 1793.
En mai 1793, l’Armée Catholique et Royale se porta, à sa sortie de Thouars, sur la ville de Parthenay, où les républicains trop faibles n’osèrent l’attendre. Ils se retirèrent sur Niort, et ce fut d’une manière si précipitée qu’ils abandonnèrent plusieurs pièces de canon. Les chefs royalistes firent à Parthenay la proclamation suivante aux habitants de la ville :
“Nous, commandants des armées catholiques et royales, n’ayant pris les armes que pour soutenir la religion de nos pères, et pour rendre à notre Auguste et légitime souverain Louis XVII, l’éclat et la solidité de son trône et de sa couronne ; n’ayant d’autre but que d’opérer le bien général : Proclamons hautement que si, contre nos bonnes et loyales intentions, messieurs les clubistes et tous autres perturbateurs du repos public venaient à reprendre les armes contre la plus sainte et la plus juste des causes, nous reviendrons les punir avec la plus grande sévérité. La manière dont nous nous sommes comportés à l’égard de tous les habitants de cette ville, devant leur prouver que tous nos efforts et tous nos vœux sont pour la paix et la concorde, nous déclarons en conséquence prendre sous notre protection spéciale tous les braves et honnêtes gens amis du bien public, promettant que, si nos intentions étaient trompées à cet égard, nous cesserions toute clémence envers les rebelles.” À Parthenay, le 11 mai 1793. Signé : La Rochejaquelein, d’Elbée, Cathelineau, de La Bouëre, des Essarts, de Beauvollier, d’Armaillé, Langlois, Cailleau.
La grande Armée Catholique et Royale, après un court séjour à Parthenay, en sortit le 13 mai pour aller à la Châtaigneraie. Les républicains avaient fait refluer de tous les côtés des troupes dans cette dernière ville, pour essayer d’arrêter les progrès royalistes qui, faisant des prosélytes partout où ils passaient, donnaient déjà une vive inquiétude à la Convention.
Extrait des mémoires de Bertrand Poirier de Beauvais, commandant général de l’artillerie des armées de la Vendée.
“Elle a quinze ans aujourd’hui, notre République, et elle a l’air d’avoir quinze siècles. Elle paraît plus vieille que les pyramides, cette pubère sans virginité, tombée du vagin sanglant de la trahison. La décrépitude originelle de cette bâtarde de tous les lâches est à faire vomir l’univers. Jézabel de lupanar, fardée d’immondices, monstrueusement engraissée de fornications, toute bestialité de goujat s’est assouvie dans ses bras et elle ressemble à quelque très antique Luxure qu’on aurait peinte sur la muraille d’une hypogée.” Léon Bloy, « La République des Vaincus », extrait du journal Le Pal.
“Pendant des années, les jeunes nationalistes ont souffert de l’union de toutes les forces malsaines. Les francs-maçons étaient unis, cela n’avait rien d’incompatible avec leur soi-disant patriotisme. La canaille marxiste était unie, elle disait en ricanant : “Travailleurs de tous les pays, unissez-vous”. Les forces d’argent étaient unies ; les banquiers de Paris, de New-York, de Bruxelles ou de Londres s’entendaient admirablement. Mais nous, patriotes, nous devions nous détester et nous haïr. Nous, qui étions poussés par la ferveur révolutionnaire, nous devions nous ignorer. Eh bien! tout cela est fini. Contre les internationales juive, moscoutaire et financière, s’est créée maintenant l’internationale de la jeunesse révolutionnaire. Ils ont été les maîtres hier, avec nos armes nous serons les maîtres demain.” Léon Degrelle.
“Notre cœur se brise de douleur, et nous, enfants du pays, l’âme déchirée, nous nous demandons comment il a pu se trouver des Roumains pour agir en ennemis vis-à-vis de leur peuple, pour vendre le patrimoine de leur nation. Comment est-ce possible qu’il y ait eu tant de traîtres? Comment ceux-ci n’ont-ils pas été collés au mur ou brûlés vifs à l’instant même de leur trahison? Qu’attend tout le monde? Qu’attendons-nous pour agir? Ces problèmes de conscience nous accablent, torturent nos âmes, troublent nos vies. Nulle part nous ne trouverons la paix, nous le savons, sinon dans la lutte, dans la souffrance ou dans la tombe. Notre silence nous couvre d’opprobre, chaque moment de retard nous tue.” Corneliu Zelea Codreanu.
“Après le Grand Soir, il y aura le petit matin. Et nous qui ne sommes ni bourgeois, ni conservateurs, ni réactionnaires, ni démocrates, ni francs-maçons et qui sommes capables, nous aussi, de manier les mitraillettes, nous nous intéressons à ce petit matin.” Pierre Drieu La Rochelle.
« L’illusion de notre jeunesse fut de penser que la décentralisation et la fédération pourraient être obtenues en France par en bas, par l’initiative des groupes, et avant la restauration du pouvoir central. L’expérience m’a fait comprendre que nos groupes naturels sont trop désorganisés, trop faibles, trop flottants pour n’être pas maintenus indéfiniment dans leur état présent d’inorganisation, par tout gouvernement qui y a intérêt, c’est-à-dire par tout gouvernement électif. Toutes les fois qu’un groupe s’organisera sérieusement, il devra s’appuyer sur des idées absolument révolutionnaires, afin de pouvoir repousser et exclure dans tous les cas toute ingérence de l’Etat : ce groupe devra donc s’orienter dans une direction anarchiste et antinationale ; au lieu de fortifier la patrie par le réveil des groupes locaux, il la diminuera par des tentatives de scission, d’ailleurs puériles, sottes et sans aucun profit pour ces groupes eux-mêmes. Ce mouvement organisateur aboutira donc, en fait, à des destructions. Nous l’avons vu, nous le verrons de plus en plus. J’en ai conclu qu’il faut commencer par en haut .“ Charles Maurras.