Traités de Tilsit (7 et 9 juillet 1807)

Traités de Tilsit
Napoléon n’avait qu’à lever la main pour rayer la Prusse de la carte…

Les traités de Tilsit (deux traités) furent signés en juillet 1807 dans la ville de Tilsit par Napoléon Ier après sa victoire lors de la bataille de Friedland.

Le premier traité fut signé secrètement le 7 juillet 1807 par le tsar Alexandre Ier et Napoléon Ier lors d’une entrevue qui se tint sur un radeau au milieu du Niémen.

Le second traité de Tilsit fut signé deux jours plus tard en présence du roi de Prusse qui avait déjà accepté une trêve quelques jours plus tôt après avoir été repoussé par la Grande Armée de Napoléon aux confins est de son royaume.

Ce double traité mit fin à la quatrième coalition européenne qui fut dressée contre la France de Napoléon. Les traités de Tilsit sont signés aux détriments de la Prusse qui doit céder la moitié de ses territoires d’avant guerre aux profits d’états sous tutelle française. Napoléon Ier donna ainsi naissance au Duché de Varsovie.

La Prusse, vaste territoire et adversaire belliqueux de la France depuis fort longtemps, se retrouva dès lors caviardée pour ne pas dire dépouillée. Les officiels prussiens vécurent la signature des traités de Tilsit comme un acte inique et une humiliation nationale. Napoléon était encore une fois le plus fort.

Exécution de François Athanase Charette de la Contrie (29 mars 1796)

Exécution de François Athanase Charette de la Contrie
Le dernier souffle d’un Héros.

Le 23 mars 1796, le général vendéen François Athanase Charette de la Contrie héros de la résistance vendéenne, acculé dans un bois avec une poignée de fidèles près de la Chabotterie, est fait prisonnier par le général Travot.

Condamné à mort après une parodie de procès dont les républicains ont le secret, il est exécuté place Viarme, à Nantes le 29 mars, après avoir refusé le bandeau qu’on voulait attacher sur ses yeux. Il commandera courageusement lui-même le peloton d’exécution par cette phrase : “Quand je fermerez les yeux, tirez droit au cœur.”

On imagine mal un Flamby, un Copélovici ou un Klarsfeld faire preuve d’autant de courage et de dignité le jour de leur exécution.

Aujourd’hui, une croix située à l’angle de la rue Félibien et de la place Viarme commémore cette exécution. Camarade, toi qui aime la France de tout ton cœur et qui vomit cette république de voleurs, de pédocriminels et de menteurs, si tu passes à Nantes, n’oublie pas de rendre hommage au grand Charette, il le mérite bien.

À bas la république. Et pour que vive la France, vive le Roi !

Auld Alliance

Auld Alliance
Ci-dessus, Thomas de Huston, chef de guerre écossais qui vint combattre l’anglois en France dans le cadre de l’Auld Alliance. Siège de Meaux, juillet 1439.

“L’Auld Alliance n’a pas été écrite sur un parchemin de peau de brebis mais gravée sur la peau d’homme, tracée non par l’encre mais par le sang.” Alain Chartier, poète français du XV ème siècle.

L’appellation scots Auld Alliance (“Vieille Alliance” en français) désigne un traité d’alliance entre les royaumes de France, d’Écosse et de Norvège contre les putridités anglaises et dont les origines remontent à 1165 sous le règne de Louis VII. Toutefois, la Norvège n’y fit jamais référence et n’y entreprit aucune action concrète. L’Auld Alliance constitua les bases des relations franco-écossaises à travers l’histoire et prévoyait que si l’un des États subissait une attaque de l’Angleterre, l’autre État envahirait l’Angleterre.

Au cours de la Guerre de Cent Ans, l’aide militaire écossaise, dans le cadre de l’Auld Alliance, fut non-négligeable et même précieuse. En 1346, suite à la défaite subie par les français à Crécy, les écossais envahirent l’Angleterre, conformément à ce que prévoyait l’Alliance, pour défendre les intérêts de la France. En 1421, lors de la bataille de Baugé, les forces écossaises infligèrent de lourdes pertes aux anglais qui perdirent la confrontation. En 1429, de nombreux hommes d’armes écossais assistèrent Jeanne d’Arc dans sa résistance héroïque contre l’occupant anglais sous les murs d’Orléans.

Au delà de sa dimension militaro-diplomatique, l’Auld Alliance garantissait également la double nationalité entre les deux États. Par ailleurs, l’Auld Alliance eut pour conséquence de faire apprécier les meilleurs vins français aux écossais. Ainsi au Moyen Âge, en Écosse, le vin de Bordeaux étaient, devant le whisky, la boisson nationale.

En 1558, l’Auld Alliance fut considérablement renforcée par le mariage du jeune Dauphin François (futur François II) avec Marie Stuart d’Écosse. Dans la foulée, le Roi de France Henri II écrivit une lettre de grande naturalisation automatique entre français et écossais. Malheureusement, 2 ans plus tard l’Auld Alliance fut mise à mal et prit (officiellement) fin. En effet, les écossais, passés à la Réforme protestante, envoyèrent 200 soldats en Normandie pour soutenir le parti huguenot contre le Pouvoir Royal Catholique.

Mais l’Auld Alliance sera plus forte et s’en relèvera. Ainsi, en 1942, le général de Gaulle qualifia l’Auld Alliance de “plus vieille alliance du monde”.

Bien que l’Auld Alliance prit officiellement fin en 1560 avec le traité d’Édimbourg, les récentes et minutieuses recherches de l’historienne britannique Dr Siobhan Talbott sur l’Auld Alliance ont démontré, en 2011, que celle-ci ne fut, en réalité, jamais révoquée.

Louis VII le Jeune (1120 – 1180)

Louis VII le Jeune
Louis VII le Jeune

Fils de Louis VI le Gros et d’Adélaïde de Savoie, Louis VII dit le Jeune est le sixième souverain de la dynastie des Capétiens directs. Il fut couronné Roi de France en la cathédrale de Reims le 25 octobre 1131. Il épousa successivement Aliénor d’Aquitaine, Constance de Castille et Adèle de Champagne. C’est son fils Philippe Auguste qui lui succèdera.

Malgré une deuxième croisade (1146-1149) catastrophique et les conséquences calamiteuses de sa séparation avec Aliénor d’Aquitaine (celle-ci se remaria avec le futur Henri II d’Angleterre ce qui fit de l’Aquitaine un fief anglais et mit le Roi de France en infériorité territoriale) le bilan du règne de Louis VII est globalement très bon.

Le royaume s’enrichit considérablement, l’agriculture se transforme et gagne en productivité, la population augmente fortement, le commerce et l’industrie se développent tandis qu’une véritable renaissance intellectuelle commence à émerger. D’autre part, le Royaume de France, afin de mieux défendre son intégrité et sa souveraineté, se couvre de châteaux forts construits en pierre.

Enfin, Louis VII consolida le pouvoir royal dans toutes les provinces sous influence en combattant le pouvoir féodal. Il s’entoure de brillants conseillers (dont celui de son père, l’abbé Suger) avec lesquels il ébauche et promulgue des ordonnances importantes pour la gestion du royaume comme celle de Paix de 1155 :

“Moi, Louis, par la grâce de Dieu roi de France. Afin de réprimer la fièvre des méchants et d’arrêter les mains violentes des pillards, à la demande du clergé et avec l’accord du baronnage, nous décrétons la paix dans tout le royaume. Pour cette raison, l’année du Verbe incarné 1155, le 4 des ides de juin, nous avons réuni un concile à Soissons. Y furent présents les archevêques de Reims et de Sens ainsi que leurs suffragants, tout comme les barons, les comtes de Flandre, de Troyes et de Nevers, et d’autres très nombreux, et le duc de Bourgogne. Par leur volonté, nous prescrivons qu’à partir de la prochaine fête de Pâques, et pour dix ans, toutes les églises du royaume et l’ensemble de leurs possessions, tous les paysans, le gros et le petit bétail également, et, pour ce qui est de la sécurité des chemins, tous les marchands où qu’ils se trouvent et tous les hommes quel qu’ils soient — tant qu’ils seront prêts à venir en justice devant ceux qui doivent leur rendre justice —, aient absolument tous la paix et pleine sécurité. Nous avons dit en plein concile et devant tous, par le verbe royal, que nous observerions cette paix sans la briser et que, s’il s’en trouvait pour violer la paix prescrite, nous ferions justice d’eux selon notre pouvoir. Ont juré cette paix le duc de Bourgogne, le comte de Flandre, le comte Henri de Troyes, le comte de Nevers, le comte de Soissons et le reste du baronnage présent. Le clergé également, les archevêques et les évêques, les abbés ont promis, devant les reliques sacrées et au vu de tout le concile, d’observer cette paix, de leur côté, de toutes leurs forces ; et pour que justice soit faire des violences, ils ont promis de nous aider selon leur pouvoir et ils ont proclamé dans la stabilité de la parole consacrée. Pour que la chose soit entendue plus largement et qu’on n’en perde pas le souvenir, j’ai confié à la mémoire des lettres la stipulation de la chose faire et la teneur de la paix, et nous avons ordonné de les fortifier de l’autorité de notre sceau.”

C’est à travers l’analyse de l’exercice du pouvoir Capétien – avec ce grand monarque pour simple exemple – qu’il est aisé d’affirmer que la république est un régime de crapules, d’étrangers, de francs-maçons ennemis de la France dont l’objectif est la destruction pure et simple du pays réel et du peuple réel enraciné. Cet objectif, ils cherchent à l’atteindre en soumettant la France à un régime libéral-libertaire dont les principaux marqueurs sont la prédation de la banque, des usuriers et des spéculateurs de tout poil accouplée à un travail d’éradication des racines et des traditions catholiques de la France éternelle par tous les moyens, même les plus stupides, tels que les émissions de Yan Barthès sur Anal+ ou encore les actions agressives, violentes et subventionnées d’une bande de putes ukrainiennes nommée femen.

Marchand de souliers

Marchand de souliers
Marchand de souliers dans les rues de Paris, vers 1830.

Ce marchand de souliers de type ambulant sillonnait les rues de Paris pour vendre des souliers à la criée. Les passants, dont les souliers avaient déjà subi l’usure du temps et de la marche dans les rues pavées de la capitale, étaient nombreux à faire l’acquisition d’une paire de souliers neuve. Cette nouvelle paire de souliers leur permettait d’éviter de s’envelopper les pieds dans des chiffons lorsque leurs souliers étaient troués.

Les souliers étaient accrochés par leurs lacets à une sorte de long brancard que le marchand portait sur son épaule, permettant ainsi un étalage parfait de tout un éventail de différents souliers. Le marchand proposait en effet divers coloris allant du marron bordeaux au caca d’oie. Toutes sortes de variétés de souliers, allant du pantoufle au sabot en passant par la sandale et ce dans toutes les tailles, étaient proposées aux chalands qui trouvaient, à coup sûr, leur bonheur.

Les souliers, essayés sur place et payés sur place, étaient immédiatement chaussés et prêts à l’emploi. Parfois, le marchand reprenait même les vieux souliers usagés du chaland.

Aujourd’hui, les temps changeant, il faut acheter ses souliers sur l’outil ouvrier inquernèque sur lequel l’essayage des souliers est impossible, le coût exorbitant, la livraison payante et l’attente interminable avant de pouvoir chausser ses souliers neufs (si tant est qu’ils vous conviennent lors de la réception du colis ce qui est très rarement le cas). Par ailleurs, le marchand de souliers en ligne ne reprend pas les anciens souliers et n’a aucune considération pour son chaland qu’il considère comme un numéro marketing à qui il adresse des newsletter impersonnelle que l’on s’empresse de mettre au panier lorsqu’on les reçoit.

Seigneurie (Anjou, vers 1250)

Demeure Médievale
À l’abri derrière les douves, les remparts, les tours et le pont levis, la vie s’écoule paisiblement.

Dans la société féodale, presque toutes les terres sont détenues par des seigneurs.

Chaque seigneur dirige une seigneurie. Il tire ses revenus des produits cultivés sur son sol par ses serfs. La seigneurie comprend deux parties : la réserve (le domaine) que le seigneur garde pour lui et les tenures, les terres qu’il loue aux paysans en échange de corvées et de redevances.

Le seigneur commande, juge, administre mais il a surtout le devoir d’assurer la sécurité de ses serfs qui dépendent de lui. Les serfs construisent des villages et mettent en valeur les terres au pied du château qui symbolise le pouvoir seigneurial.

Le seigneur et ses serfs vivent en osmose, dans le respect et en harmonie parfaite. En effet, sans le seigneur les serfs ne sont rien et sans les serfs, le seigneur n’est rien. Seigneurs et serfs sont donc socialement complémentaires. Le seigneur assurant, en haut, l’autorité et en bas, les libertés. Les serfs assurant, eux, le noble et indispensable travail de la terre.

Le modèle social du monde féodal est donc aux antipodes des démocraties de marché actuelles dans lesquels les peuples travailleurs vivent dans le mépris constant des élites dégénérées et donneuses de leçon qui usurpent scandaleusement un pouvoir qu’ils se révèlent incapables d’exercer.

En démocratie, les peuples subissent également le racket des Banques à l’égard desquelles tout acte de dissidence et d’insoumission est lourdement puni d’un bombardement démocratique et droit-de-l’hommiste américain.

Vierge à l’Enfant

Vierge à l'Enfant
Liturgie Catholique Romaine.

Salve Regina, Mater misericordiae !
Vita dulcedo et spes nostra, salve !
Ad te clamamus, exsules filii Evae.
Ad te suspiramus, gementes et flentes
in hac lacrimarum valle.
Eia ergo, advocata nostra,
illos tuos misericordes oculos
ad nos converte ;
et, Jesum, benedictum fructum ventris tui,
nobis post hoc exsilium ostende.
O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria !

Guerre de Crimée : Siège de Sébastopol (octobre 1854 – septembre 1855)

Siège de Sébastopol
Artilleurs français au siège de Sébastopol. Ils tirent plusieurs coups tous les quart d’heure vivent les artilleurs !

Le siège de Sébastopol est l’événement principal, mais aussi le plus coûteux en hommes, de la guerre de Crimée (1853-1856) qui opposa l’Empire Russe à une coalition constituée de l’Empire Ottoman, du Royaume Uni, de l’Empire français de Napoléon III ainsi que du royaume de Sardaigne. Les maladies, telles que le choléra, y firent plus de victimes que les combats. Bien que Sébastopol ait été défendue héroïquement par les russes et que son attaque eût coûté la vie à de nombreux soldats des deux camps, sa chute allait marquer le début de la défaite russe lors de la guerre de Crimée.

Il convient de rappeler, pour éviter d’occulter la complexité du contexte historique, que la Crimée est une presqu’île située au nord de la mer Noire et qui fut successivement peuplée par les Hérules, les Huns, les Coumans, les Tatares avant de devenir une possession de la République de Gênes puis une possession Ottomane (1475).

En 1774, Catherine II de Russie finit par faire plier les Ottomans qui reconnaissent leur illégitimité sur la Crimée et acceptent de rendre l’indépendance à la presqu’île de Crimée.

9 ans plus tard, Catherine II de Russie annexa la Crimée et inaugura une politique de peuplement par des chrétiens c’est à dire des Russes, c’est alors que s’élevèrent des Cités à l’architecture et aux noms grecs antiques (Odessa, Chersonèse, Sebastopol, Tyrapsol, Simféropol, Melitopol…).

La minorité Tatars, colllabos des ennemis Ottoman dont l’empire était alors en déclin de plus en plus flagrant, furent invités à quitter la Crimée. Puis la Russie impériale chargea les Cosaques de pacifier et d’assimiler les derniers Tatars. La Crimée est alors légitimement russe depuis 1783.

Sous la Russie tsariste, la péninsule de Crimée connut une expansion économique sans précédant. De nouvelles villes slaves furent rapidement édifiées ainsi que de nombreuses voies ferrées. Avec de multiples ports flambants neufs (dont Sébastopol est le principal), la Crimée devint une importante tête de pont pour la marine marchande russe, vers les mers chaudes, contribuant ainsi au développement économique de la Crimée insufflé par la Russie Impériale.

Par ailleurs, la Crimée devint également le lieu de villégiature privilégié des Tsars de Russie. Véritable Riviera Russe, les Tsars y édifièrent dès 1860 de très nombreuses résidences toutes aussi splendides les unes que les autres tel que le Palais de Livadia. Par ailleurs, la ville de Yalta allait devenir une ville comparable à Nice ou Cannes. La Crimée vit alors les stations balnéaires pousser comme des champignons.

En 1853, l’empire Ottoman en plein déclin décida, avec le soutien de la Grande-Bretagne et de la France, malgré l’affirmation de Napoléon III : “L’empire, c’est la paix”, de mettre un coup d’arrêt à l’expansion économique russe. Les alliés de circonstances attaquèrent la péninsule. Le conflit de 1854–1856 fut extrêmement meurtrier : 750 000 hommes périssent en trois ans. La Crimée resta sous le contrôle de la Russie, malgré un siège de Sébastopol qui se solda par une défaite russe. Cette guerre ruina durablement l’économie et les structures sociales de la Crimée.

Sous l’ère soviétique, les derniers Tatars furent tout bonnement déportés par Staline. Puis, en 1954, Nikita Krouchtchev, d’origine ukrainienne « fit cadeau » de la Crimée à la république socialiste soviétique d’Ukraine (RSSU). 13 ans plus tard, les Tatars furent réhabilités mais non-autorisés à revenir s’installer en Crimée.

Lors de l’effondrement de l’URSS, la Crimée se déclare, après référendum, république autonome mais quelques mois plus tard l’Ukraine prend son indépendance et embarque dans son giron la Crimée, qui lui avait été « offerte » par Krouchtchev 37 ans avant mais qui demeure toutefois russophone et conserve une forte autonomie.

Début 2014, le coup d’État organisé à Kiev par la CIA, avec le soutien diplomatique des merdes de l’Union Européenne et, sur place, avec le soutien du parti néo-nazi Maïdan (bizarrement soutenu par Fabius et Henry-Lévy les fauteurs de guerre professionnels), attise chez les russophones de Crimée des velléités séparatistes. Face à cette menace euro-fasciste, le parlement autonome de Crimée refuse de reconnaitre le nouveau président ukrainien,  marionnette de Washington, et organise alors un référendum démocratique en vue d’un rattachement de la Crimée à la Patrie Mère Russe. De la part d’une population très majoritairement russophone, le résultat est sans surprise, la Crimée retourne sous le giron de Moscou.

Très vite, Vladimir Poutine dépêche des troupes en Crimée afin de protéger les habitants d’une agression militaire euro-américaine imminente : les va-t-en-guerre de Washington et les faucons d’extrême-droite de l’Europe de Bruxelles ont d’ailleurs déjà sorti les crocs en envoyant leur F-16 et autres matériels de guerre et de violence.

Mais les vaches sont bien gardées car on peut largement faire confiance à un grand homme comme Vladimir Poutine pour garantir l’intégrité et les libertés des russes de Crimée. Vladimir Poutine fera respecter le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes face à l’impérialisme illégitime et violent des euro-américains. Affaire à suivre…

Centurion

Centurion
Centurion romain. Gaule, vers 52 avant J.C.

Le centurion, premier grade d’officier dans les légions romaines, est armé plus légèrement que le légionnaire afin de pouvoir, par gestes, transmettre les ordres. Il bénéficie, en compensation, d’une cuirasse lui assurant une bonne protection et de jambières de métal, les cnémides. Il porte un cep de vigne, insigne de sa fonction, avec lequel il peut frapper les légionnaires en faute.

Childeric II (vers 655 – 675)

Childeric II
Chronique des temps Mérovingiens.

Childeric II accèda au trône d’Austrasie à l’âge de 8 ans (662 – 673) puis il devint Roi de tous les Francs de 673 à 675. Il est le fils cadet de Clovis II et de la reine Bathilde. C’est lui qui unifia le royaume de Neustrie et celui d’Austrasie sous son sceptre.

“Donc Clovis II, fils de Dagobert, prit pour reine une femme de naissance étrangère, nommée Bathilde, femme avisée et distinguée, dont il eut trois fils, Clotaire, Childéric et Thierry. Il avait comme maire du palais un homme énergique et sage nommé Erchinoald. Aussi Clovis maintint-il dans son royaume une paix sans guerre. Dans les dernières années de sa vie, toutefois, il perdit la raison et rendit l’âme après avoir régné dix-huit ans. Les Francs aussi placent sur le trône son fils ainé, Clotaire, au côté de sa mère la reine mentionnée ci-dessus.” Extrait de la Continuation de la Chronique de Frédégaire (vers 760)