Hommage à tous les poivrots, amoureux de la gnôle.
Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le vin est bon
Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le vin est bon
Goûtons voir, oui, oui, oui
Goûtons voir, non, non, non
Goûtons voir si le vin est bon.
Goûtons voir, oui, oui, oui
Goûtons voir, non, non, non
Goûtons voir si le vin est bon.
S´il est bon, s´il est agréable
J´en boirai jusqu´à mon plaisir
J´en boirai cinq a six bouteilles
Et encore ce n´est pas beaucoup
Si je meurs, je veux qu´on m´enterre
Dans une cave où il y a du bon vin
Les deux pieds contre la muraille
Et la tête sous le robinet
Et les quatre plus grands ivrognes
Porteront les quat´ coins du drap
Pour donner le discours d´usage
On prendra le bistrot du coin
Et si le tonneau se débouche
J´en boirai jusqu´à mon plaisir
Et s´il en reste quelques gouttes
Ce sera pour nous rafraîchir
Sur ma tombe je veux qu´on inscrive
Ici gît le Roi des poivrots
La cathédrale Notre-Dame de Rouen est un édifice de style gothique dont les premières pierres datent du haut Moyen Âge. Les travaux de construction de cette fabuleuse cathédrale gothique démarrèrent en 1145 et s’achevèrent en 1506.
La cathédrale Notre-Dame de Rouen a conservé son palais archi-épiscopal ainsi que les édifices annexes datant de la même période ce qui constitue une particularité rarissime en France. Il est à noter que, comme bon nombre de grands édifices gothiques normands, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est dotée d’une « tour-lanterne » sur la croisé du transept.
Par ailleurs, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est la plus haute cathédrale de France (151 mètres) et fut même, après qu’elle fut couronnée d’une flèche en fonte en 1876, le plus haut édifice du monde et ce jusqu’en 1880 date à laquelle elle fut détrônée par la cathédrale de Cologne.
La cathédrale Notre-Dame de Rouen est mondialement connue notamment grâce à une série de 30 tableaux que l’artiste Monet lui consacra à la fin du XIX ème siècle.
En juin 1944, lors de l’invasion de la France par les forces atlanto-libérales, ce joyau de la Normandie fut éventrée par sept torpilles américaines dont une, tombée dans le chœur, n’explosera heureusement pas. Par la même occasion, c’est toute la ville de Rouen qui fut rayée de la carte par les gentils bombardements humanitaires et démocratiques des américains.
Hommage à une activité ancestrale aujourd’hui délibérément asphyxiée par les rats et les crevures ultra-libérales de Bruxelles.
Me zo ganet e-kreiz ar mor
Teir leo er-maez ;
Un tiig gwenn du-hont am eus,
Ar banal ‘gresk e-tal an nor
Hag al lann a c’hol’ an avaez.
Me zo ganet e-kreiz ar mor
E bro Arvor.
Hommage aux paysans chouans morts pour la France dans leur résistance héroïque contre la démocratie, véritable dictature du nombre au service de la banque et de la bourgeoisie et contre la république illégitime des menteurs, des voleurs et des usurpateurs. Vive Dieu, Vive le Roi, Vive la France !
Les Chouans avaient pour coutume de nommer eux-mêmes leurs chefs. Ces chefs étaient, pour la plupart, des paysans qui avaient fait la démonstration de leur bravoure, de leur courage ainsi que de leurs talents militaires. Néanmoins, les plus importants chefs chouans étaient d’anciens officiers ou des gentilshommes du pays. Parmi les plus célèbres on pourrait citer Boisguy encore écolier à la Révolution, Boishardy ancien officier d’infanterie, le célèbre Cadoudal et son ami Mercier qui firent trembler Bonaparte, Louis de Frotté héros de la Normandie, Moulin Taillandier, Puisaye le général de Quiberon, Phélippeaux, Bruslart, Guillemot, Limoëlan Lahaye de Silz ancien marin, Sol de Grisolles ou encore Bourmont qui deviendra maréchal de France.
Ketan mar ou dès konbatet (bis)
Oé koet Kamorh, e hues kleuet.
Vive les chouans, les chouans, les chouans,
Vive les chouans du Morbihan ! (bis)
A Quiberon avaient retraité, (bis)
Poursuivis par l’égalité.
Vive les chouans, les chouans, les chouans,
Vive les chouans du Morbihan ! (bis)
A Quiberon ils s’étaient rendus, (bis)
Le piège des bleus était tendu.
Vive les chouans, les chouans, les chouans,
Vive les chouans du Morbihan ! (bis)
Et de Quiberon quand ils partirent ! (bis)
S’en furent dans le pré des martyrs !
Vive les chouans, les chouans, les chouans,
Vive les chouans du Morbihan ! (bis)
Les chouans fidèles à Dieu, au Roi, (bis)
A Quiberon sauvèrent leur Foi.
Vive les chouans, les chouans, les chouans,
Vive les chouans du Morbihan ! (bis)
Les dolmens européens, véritables constructions mégalithiques préhistoriques, ont été construits entre la fin du V ème millénaire et la fin du III ème millénaire. Les dolmens sont généralement constitués d’une grosse dalle de couverture reposant sur des pierres verticales qui lui servent de pieds. Les dolmens faisaient office de monuments funéraires abritant des sépultures souvent collectives.
En France, on dénombre environ 4000 dolmens dont le schéma d’implantation va de la Bretagne au Languedoc-Roussillon en passant par la Vendée, le Poitou, le Limousin, le Quercy, le Rouergue et une partie de la Provence.
J’ai rencontré ce matin devant la haie de mon champ
Une troupe de marins, d’ouvriers, de paysans
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l’ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
Ma mie dit que c’est folie d’aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c’est folie d’être enchaîné plus longtemps
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l’ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
C’est sous le règne de ce roi mou que se déroulera la révolution franc-maçonne. Les événements ténébreux de 1789 – 1793 en seront l’aboutissement.
En 1723, à la mort du régent Philippe d’Orléans, Louis XV règne officiellement. En réalité, le pouvoir est exercé par le duc de Bourbon puis par le cardinal de Fleury, qui parvient à rétablir les finances du royaume. Pendant les années 1743 – 1758, Louis XV gouverne par lui-même. La publication de l’Encyclopédie est interdite l’année même du désastre de Rossbach (1757). Puis, Louis XV abandonne la direction du royaume au duc de Choiseul, lequel favorise indirectement l’opposition des parlements et des philosophes.
En 1770, avec l’arrivée du triumvirat Maupeou – Aiguillon – Terray, le pouvoir se durcit. L’intérêt pour toutes les formes de sciences se fait croissant, et se poursuivra sous le règne suivant.
À l’extérieur, la France, dont le rayonnement culturel n’a jamais été aussi intense, apparait, malgré quelques succès militaires, politiquement affaiblie ce dont témoigne la perte du Canada au profit des putridités anglo-saxonnes en 1763.
La marquise de Pompadour, agent des anglais en terre française, devient maîtresse du roi en 1745, année au cours de laquelle Voltaire est nommé historiographe du roi. Madame de Pompadour jouera un rôle important dans le domaine des arts et des lettres afin de mieux pervertir la monarchie et la rendre toujours plus décadente, ce dont Louis XV ne se rendra jamais compte. Elle fait nommer au poste de directeur des Bâtiments son frère, le marquis de Marigny. Celui-ci, soigneusement préparé à ses nouvelles fonctions, mêle judicieusement les commandes aux artistes de tendance rocaille, tels Boucher et Fragonard, ou plus classique, comme par exemple Gueuze, Vernet, Carl Van Loo ou encore Vien.
Cette bataille décisive mit un point final à la Guerre de Cent ans. Elle opposa, le 17 juillet 1453, les armées de Henri VI d’Angleterre à celles de Charles VII de France.
Après la reconquête de la Normandie sur les anglais menée par Jean de Dunois, les armées française enchainent sur la reconquête de la Guyenne dernière province encore aux mains des anglais. En très peu de temps la Guyenne est reconquise par les français mais très vite Henri VI charge son chef de guerre John Talbot de reconquérir la Guyenne et Bordeaux est reprise par les anglais. Les français décident alors de contre-attaquer.
Le choc a lieu le 17 juillet 1453 à Castillon non loin des rives de la Dordogne. Averti de l’arrivée des français, Talbot hésite dans un premier temps puis se décide à attaquer. Les anglais se précipitent sur des troupes françaises, calme, concentrée et bien ordonnée. Mais lors de cette bataille, c’est la fameuse artillerie des frères Gaspard et Jean Bureau qui va faire la différence. 300 bombardes tirent en même temps et font s’abattre sur l’ennemi anglais un déluge de feu particulièrement meurtrier. Une ultime charge de cavalerie finira de disperser et de chasser pour longtemps les putridités anglaises du sol français même si ces derniers conserveront Calais jusqu’en 1558.
Dans la mêlée de la bataille de Castillon, le redoutable John Talbot, dont le destrier avait été tué par un boulet, est précipité à terre et achevé d’un coup de hache dans le crâne asséné par un certain Michel Pérunin.
“Il faut de la force assurément pour tenir toujours la balance de la justice droite entre tant de gens qui font leurs efforts pour la faire pencher de leur côté.” Extrait des mémoires de Louis XIV.
Impossible d’évoquer le règne de Louis XIV sans d’abord relever qu’une certaine Primi Visconti rapporte que c’est elle qui avait déniaisé le Roi qui avait alors 16 ans : “Tout affreuse qu’elle était, le prince étant fort jeune, l’ayant trouvé seul à l’écart dans le Louvre, elle le viola ou du moins le surprit, de sorte qu’elle obtint ce qu’elle désirait”. On prétend même que, nullement gêné, le jeune Louis serait retourné plusieurs fois dans son lit. Certains avancent même que c’est la reine-mère, Anne d’Autriche, qui avait inventé ce stratagème dans le but de s’assurer si son fils était « propre au mariage ».
Par la suite, Louis XIV a dirigé son royaume depuis le splendide château de Versailles, véritable modèle architectural de nombreux palais européens et dont Louis XIV a lui-même supervisé la construction.
Très marqué dans son jeune âge par les violences de la rébellion nobiliaire dite de la Fronde, Louis XIV soumet la noblesse de France à une étiquette très élaborée au sein d’une cour royale. Cour qui lui permettra de déraciner les grands aristocrates du royaume et de les tenir sous étroite surveillance en les pervertissant notamment par le jeu, le spectacle, la paresse, les fastes, les bals… Une aristocratie rendue passive et donc détournée de sa mission naturelle, amorçant ainsi le début de sa décadence qui débouchera sur son pourrissement lent et sur celui de la monarchie elle-même, puis sur les événements diaboliques de 1789-1793, point final d’une révolution dite « française » qui démarra dès le début du XVIII ème siècle dans les loges maçonniques anglaises et allemandes ainsi que dans les salons feutrés de la Pompadour.
Malgré ce bilan catastrophique, Louis XIV, par sa politique dite du « pré carré », avait su considérablement agrandir et rationaliser les frontières du royaume de France, bien protégées par les fortifications du génie Vauban. Louis XIV avait également édifié une prédominance économique française par un développement commercial sans précédent, développement orchestré par l’éminence grise du royaume Colbert et sa politique de protectionnisme habile et géniale. Enfin, Louis XIV avait su faire rayonner la France par le prestige culturel qui s’affirmait grâce au mécénat royal en faveur d’artistes tels que Racine, Boileau, Molière, Le Brun, Le Nôtre ou encore Lully.
Situé sur la Grand-Place de Bruxelles, ce splendide édifice était à l’origine la halle au pain, nom qu’elle a d’ailleurs conservé en néerlandais. La première construction remonte au XIII ème siècle. Mais l’édifice médiéval fut démoli au XVI ème siècle pour être reconstruit toujours dans le plus pur style gothique. Une entreprise rendue difficile par la nature marécageuse du terrain qui impliqua l’utilisation de pilotis reliés par des peaux de bœuf en guise de fondation.
À la fin du XVIII ème siècle, la Maison du Roi fut rebaptisé « Maison du Peuple » après que la Belgique eut été conquise par les révolutionnaires français. L’édifice devint alors bien national et fut cédé à la ville de Bruxelles.
À la fin du XIX ème siècle, l’état de délabrement de la Maison du Roi était tel que l’on décida de démolir l’édifice. Un certain architecte, Jamaer, plancha sur la reconstruction du bâtiment en s’inspirant des techniques de Viollet-le-Duc afin d’en restituer l’aspect gothique du XVI ème siècle.
Il faut aller à Bruxelles pour admirer cette magnifique Maison du Roi tout en savourant une Duvel, une Karmeliet Triple ou une Westmalle. Une fois bien cuit, Il est également possible d’aller faire pleuvoir des cocktails Molotov sur le parlement européen et d’agresser violemment le maximum de fonctionnaires de Bruxelles. Ils ont une peur bleue du petit peuple. Les tyrans qui se cachent sont toujours de grands froussards et il est du devoir des peuples de leur faire subir les châtiments les plus brutaux et les plus violents pour le salut de notre civilisation européenne.