Le bourreau

Seigneur français décapité pour avoir trahi le Roi. Paris, place de Grève, 1310

 

Nos amis les bourreaux, au chômage depuis l’abolition de 1981, auraient fort à faire de nos jours. De Chirac à Flamby en passant par Sarko et ses collègues mais néanmoins amis Strauss-Kahn, Copélovici, Fabius, Cahuzac, Juppé, Muscovici, Villepin… Il y a assez de républicards véreux pour remplir une bonne centaine de charrettes. Alors aiguisez vos haches messieurs. Qu’on décapite toute cette vermine et qu’on les jette aux chiens.

Troubadours et ménestrels

Triboulet, le bouffon de François Ier et un ménestrel. Blois. 1518.

Le troubadour est un compositeur, poète et musicien médiéval de langue d’oc. Les trouvères sont leurs équivalents en langue d’oïl au nord de la France.

La cité

Ville fortifiée
Cité médiévale fortifiée.

A l’abri derrière ses épaisses murailles flanquées d’imposantes tours, la cité jouissait d’une prospérité opulente. Meurtrières, ponts-levis, machicoulis, hourds, fossés, herses, créneaux contribuaient à protéger la cité des incursions étrangères. Le seigneur des lieux avait ordonné l’expulsion de toute la vermine (métèques, hérétiques, usuriers, profiteurs, agitateurs, spéculateurs de tout poil…). Les terres avoisinantes étaient fertiles et la cité ne connaissait plus les famines depuis qu’une ordonnance seigneuriale interdisait à quiconque de réaliser des profits sur la vente de produits alimentaires sous peine de pendaison en place public.

La peste

La peste
Chroniques des temps mérovingiens.

« …on compta, un dimanche, dans une basilique de Saint Pierre, trois cents corps morts. La mort était subite ; il naissait dans l’aine ou dans l’aisselle une plaie semblable à la morsure d’un serpent ; et ce venin agissait tellement sur les hommes qu’ils rendaient l’esprit le lendemain ou le troisième jour ; et la force du venin leur ôtait entièrement le sens. » Grégoire de Tours.

Carloman II de France (vers 867-884)

Chroniques des temps carolingiens

Fils de Louis II dit le bègue et de Ansgarde de Bourgogne, il fut roi des francs de 879 à 884. Fatigué de lutter contre les interminables incursions Vikings, il réunit les grands du royaume en 884 à Compiègne où il décide d’acheter le départ des Normands contre 12000 livres pesant d’argent. Carloman II s’éteint le 6 décembre 884 à l’âge de 17 ans suite à une blessure à la jambe due à un coup de boutoir infligé involontairement par un de ses vassaux lors d’une partie de chasse aux sangliers.

L’assassinat du Duc de Guise (1588)

Henri de Lorraine, 3ème duc de Guise, dit « le Balafré », assassiné par des membres des « quarante-cinq », la garde personnelle du roi. Blois. 23 décembre 1588.

Grand parmi les Grands, chef de la Ligue et ardent défenseur de la foi catholique, Henri Ier de Guise consacra sa vie à la lutte contre les protestants. Quoique apocryphe, un célèbre mot historique est continuellement prêté à Henri III. Voyant étendu à ses pieds le corps de son ennemi, le roi se serait exclamé : « Il est plus grand mort que vivant ! ».

Les seigneurs de guerrre

De gauche à droite : Etienne de Vignolles dit La Hire, un porte-étendard, Jean Dunois, Gilles de Rais, Poton de Xaintrailles. Orléans, 1429.

Ces 5 hommes furent les fidèles compagnons d’armes de Jeanne d’Arc lors de la libération d’Orléans (1429). Puis, grâce à l’artillerie des frères Bureau et des financements du grand argentier Jacques Cœur, ils boutèrent héroïquement l’anglais de France et permirent au Roi Charles VII de reconquérir son royaume.

Lansquenets allemands

Lansquenets allemands à la bataille de Marignan, 1515.

Lors de la bataille de Marignan, l’armée de François Ier employait dans ses rangs plus de 20 000 lansquenets allemands mercenaires qui permirent au roi très chrétien de remporter la bataille sur les suisses et ainsi de contrôler toute la Lombardie.