
Indignée par les abus révolutionnaires, cette jeune femme issue d’une famille de petite noblesse normande, décida de s’affranchir des règles du bon droit en répondant à l’illégalité par l’illégalité. Jean-Paul Marat, jacobin républicain de la pire espèce qui symbolisait parfaitement la haine, l’injustice et le mensonge devint sa cible… Le 9 juillet 1793, elle quittait Caen pour le palais Royal à Paris. Le 13 juillet, elle parvint à s’introduire au domicile de Marat et le poignarda. Bon débarras.