Les muscadins, ainsi nommés parce que le parfum du musc et celui de la muscade faisaient alors fureur, étaient de jeunes royalistes de la fin du XVIIIème siècle. Avec la chute de Robespierre et la fin de la Terreur, page la plus sombre et la plus noire de l’histoire de France, cette jeunesse royaliste va réoccuper le pavé parisien sous le Directoire pour le plus grand bien de la ville. Depuis leur quartier général du Café des Canonniers au Palais Royal et sous la houlette du journaliste Fréron, ils organisent le coup de force, débarrassant Paris de la vermine sans-culottes et obtenant par la suite la fermeture du club des jacobins le 11 novembre 1794. Ces muscadins sont plus communément désignés par l’expression « incroyables et merveilleuses ».
le fouduroy 
Cher Fouduroy, si j’avais été vous, j’aurais supprimé tous les « r » du descriptif que vous faites des Muscadins. Le « r » était en effet honni par ces personnages puisqu’il s’agissait de la 1ère lettre du mot « Révolution ».
« Oh, ma Chè’e, c’est admi’able! » s’exclama le Muscadin.
Tout à fait monsieur Bauer, j’avais d’ailleurs hésité à le faire 😉
Mais ça me rappelait trop le langage de la vigie Baba dans Astérix. Vous voyez ce que je veux vous dire?
Oh oui, je vois tout à fait.
J’ai moi-meme quelques penchants racistes.